* Exemple: s’il y a autour de vous 5 familles intéressées, pour un total de 10 sacs, vous prenez la contrepartie à 175€, et chaque sac vous revient 17.50€.
Et s’il n’existe pas de contrepartie pour le bon nombre de sacs?
Reprenons notre exemple, mais au lieu de 10 sacs, vous avez organisé un achat pour 13 sacs. Vous avez droit aux 13 sacs au prix de 17.50€. Vous nous contactez pour que nous encodions directement votre achat selon vos souhaits.
Vous pouvez bien entendu nous communiquer les noms de tous les participants, pour qu’ils figurent eux aussi sur la liste des remerciements !
Vous pouvez aussi, bien entendu, organiser des achats groupés en famille, au sein d’un groupe d’achat local, etc.
Attention, la campagne se clôture le 6 juillet et le nombre de sacs est limité. Ne traînez pas!
La Pachamama grandit, grossit, et les murs qui l’abritaient devenaient trop étroits.
Depuis quelques mois nous étions à la recherche d’un lieu qui pourrait nous héberger, bureaux et stock.
Nous l’avons enfin trouvé, dans un lieu qui héberge des petites entreprises alternatives, écologiques, actives dans le développement durable… Un lieu qui correspond bien à nos valeurs et à ce qu’on a envie de promouvoir !
On va donc se retrousser les manches et charger des dizaines et des dizaines de caisses pour s’installer dans nos nouveaux locaux. Mais comme on aimerait partir le plus léger possible, on déstocke avant !
Cette photo qui illustre notre identité, c’est le bois de Hal, près de Bruxelles, qui se recouvre d’un tapis de jacynthes bleues trois semaines par an. Exactement maintenant.
Il y a deux ans tout juste, nous y étions avec Milan Rai, cet artiste népalais qui fait voler ses papillons blancs partout dans le monde. C’est à ce moment que la photo a été prise. Nous avons repris son message d’espoir et de beauté simple sur notre visuel.
Aujourd’hui, Milan va bien. Il passe ses journées à construire des sanitaires de fortune dans les parcs publics où les habitants de Kathmandou sont réfugiés par peur des répliques.
Les habitants de Kathmandou sont sans toit, sans eau potable, sans infrastructure dans une ville détruite. Leurs besoins sont pressants. Voici l’une des campagnes de dons ouvertes :
Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, La Pachamama vous offre non pas une, mais trois rencontres avec Aline de Pétigny, dont vous aimez les livres, aussi poétiques dans leurs illustrations que justes dans leurs mots.
Le samedi 7 mars, elle sera en dédicace au magasin Sainbiose, chaussée de Bruxelles 21 à Sombreffe, de 16h à 18h30.
Le lendemain, dimanche 8 mars, elle anime une conférence-rencontre au salon Bio Foodle à Charleroi, et fera ensuite une séance de dédicaces sur le stand de La Pachamama.
Pour y assister, il vous suffit d’imprimer ce message avec l’entré gratuite que nous vous offrons, ci-dessous:
Et enfin, pour les Bruxellois, Parents-Thèses vous convie au Cook ‘n Book pour une soirée rencontre le 9 mars dès 19h30. Rendez-vous en face du Wolubilis, possibilité de se restaurer comme d’habitude!
Elle nous a donné l’occasion d’une belle réflexion de nous sommes heureux de partager avec vous:
L’un de nos revendeurs s’interroge sur la pertinence de vendre des jeux sur la Coupe du monde, quand on fait du commerce équitable. L’occasion d’une pause, d’un regard vers le sens de ce que nous faisons. Voici ce que nous avons répondu. N’hésitez pas à nous donner votre avis!
J’aime bien le débat que suscite ce produit.
A La Pachamama, on aime bien la « dénonciation positive »: il est nécessaire de dénoncer certaines pratiques, mais tout autant de proposer des solutions.
Le football est immensément fourvoyé. Pourtant quand je vois mon fils jouer avec ses copains, même s’ils sont bien sûr envoûtés par Messi et d’autres, ce qu’il y a entre eux, c’est l’esprit d’équipe, l’enthousiasme, le plaisir de jouer ensemble, la convivialité. Ce foot-là existe aussi, et c’est celui-là qu’il faut nourrir.
J’ai aussi été partagée entre les scandales sociaux au Brésil et l’enthousiasme des enfants: faut-il ignorer ce qui se passe, ou ternir leur joie en boycottant la coupe?
Ni l’un ni l’autre je pense: vivre la bonne humeur des matchs pour le sport, et garder conscience des excès inacceptables.
… Et proposer des alternatives qui conjuguent enthousiasme ET éthique 🙂
Comme nous, vous sentez que ça grince, cette coupe du monde qui ignore (im)poliment les droits sociaux les plus basiques?
Et comme nous, malgré tout, vous ne voulez pas gâcher le plaisir de vos enfants, et même, vous sentez que leur enthousiasme est contagieux?
Et vous ne pouvez pas vous empêcher, même mal à l’aise, de vous sentir porté(e) par l’envie de participer à toute la joie et toute l’énergie que dégagent les matchs?
Eh bien, voilà, donc, vous commencez à nous connaître, et vous savez qu’on aime bien donner des réponses positives, proposer de belles alternatives, à ce qu’on dénonce.
Voilà donc les RouteTaBille spécial Coupe du Monde!
Et entre autres, parce que certains produits sont uniques. Les femmes qui confectionnent les animaux et les sacs à dos de Barefoot ne font presque jamais deux fois la même pièce.
Et parfois, comme ça, en surprise, on recroise des pièces qu’à un moment des parents étaient venus offrir à leurs enfants.
Comme un jour où je fouillais dans les sacs à doudous de la crèche pour retrouver celui de ma fille, et je suis tombée nez à nez avec un de nos monstres aux épines (oui oui, il y a des enfants qui n’ont peur de rien, et qui l’utilisent comme doudou).
Et l’autre jour, en faisant la file devant l’un des plus célèbres glaciers ucclois, très fréquenté à l’heure de la sortie des écoles, ma fille me glisse à l’oreille que « quelqu’un » a un sac de la Pachamama.
Un bambin de trois ans promenait fièrement son éléphant sur son dos. Je me suis revue le sortir de la caisse qui venait de Colombo, parce qu’il m’avait semblé particulièrement joli.
Le bambin aimait bien son éléphant, il ne laissait pas sa maman le porter à sa place. Et je me suis dit qu’il avait de la chance, cet éléphant, d’avoir trouvé si bon preneur. Une belle adoption 🙂
On aurait pu râler parce que la drache liégeoise a joué les incrustes à notre fête du commerce équitable.
Oui, on aurait vraiment pu pester, parce qu’elle ne nous a pas épargnés. Elle a d’abord empêché les gens de venir, ensuite elle s’est calmée, ensuite elle les a fait fuir, elle a essayé de tremper les articles…
Pourtant, au moment de remballer le tout sous des trombes d’eau, ce que j’ai vu c’était des sourires sur les lèvres, des yeux qui brillaient derrière des lunettes mouillées, des bravos, des mercis, des félicitations… Pas un de nous n’est parti sans avoir été dire au revoir à tout le monde, malgré la pluie.
Parce que c’était une belle journée.
Notre petite fédération, c’est avant tout de l’humain et de la bonne humeur. Des hommes et des femmes qui mettent le commerce équitable au cœur de leurs préoccupations, et des gens qui nous soutiennent parce que pour eux aussi ça a du sens. Dans la fédération, il y a de tout: des boutiques où vous pouvez trouver nos produits, comme Ozfair (ou bientôt les Magasins du monde Oxfam), des importateurs, comme Tiksy, dont nous commercialisons les produits, des coopératives délicieusement éthiques comme Ethiquable, Miel Maya ou les cafés Chorti, etc… Plein de métiers tellement différents qu’on aurait pu se demander ce qui nous réunit.
C’est ce lien, ce plaisir de trouver du sens à ce qu’on a créé, ce plaisir de proposer de beaux et bons produits aux gens et de recevoir tout leur enthousiasme en retour, qui fait qu’on est toujours contents de se revoir et de faire ensemble la fête au commerce équitable.
Alors merci les Liégeois, en particulier les deux Liégeoises qui ont organisé cette belle fête!