Les véhicules en bois, tout neufs et tout beaux!

La voiture verte, le tracteur rouge, le camion bleu ou le bus de Londres? Leur point commun, c’est un design épuré, des mesures idéales pour la préhension, leur beauté artisanale. Et vous, c’est quoi votre préférée? Tout est là: http://www.lapachamama.be/ps/79-jouets-en-boisNV01_No1-Flame-Car NV02_No-2_RedCar NV03_No3-Green-Car NV04_No-4_BlueCar NV10_Tractor-Nat-wood NV11_Tractor-red NV12_BlueLorry NV15_LondonBus

La crise est une émotion

« La crise est une émotion » m’a-t-on dit aujourd’hui.

Sans doute, oui. Et s’il fallait définir plus précisément cette émotion, ce serait la peur.

La peur de manquer. La peur de voir nos proches, ceux qu’on aime, manquer matériellement de quelque chose.

Alors on bloque. On garde pour soi, on fait des économies ou, tout au moins, on réduit nos dépenses.

La peur est limitative. Et c’est tout un mouvement de masse qui freine, qui s’enraye. Alors qu’on sait bien, tous, même les grands financiers, que l’intérêt (la solution?) de la crise est justement de partager, on tésaurise.

Voyez en Belgique: le montant de l’épargne arrive à des sommets jamais atteints, alors qu’on ne sait plus où trouver l’argent par ailleurs.

Mais on garde par peur de manquer.

Or, si la crise est une émotion, elle est aussi une affaire personnelle. Elle m’appartient à moi, mon attitude par rapport à elle (l’accepter ou la refuser) va la faire exister ou disparaître.

Ce serait bien que les grands manitous de la finance osent comprendre cela. Qu’ils osent lâcher, risquer, et croire à cette idée proverbiale qui dit que tout ce qu’on donne nous sera rendu au centuple.

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Mais si eux n’osent pas, tant pis. Je ne vais pas les attendre pour oser partager. Moi, mon épargne, je l’ai investie dans La Pachamama. Et elle a fait des petits, auprès de nos producteurs. D’accord, je n’ai pas fait fructifier mon argent au sens habituel. Mais l’aventure humaine qu’elle m’a apportée, depuis cinq ans, vaut tout l’or du monde, et je sais bien que jamais je ne regretterai cet investissement. Que plus tard, en me retournant sur ma vie, ce sera l’une des choses dont je suis le plus fière.

D’où cette phrase de Gandhi que j’ai reprise: « Sois le changement que tu veux voir dans le monde ». Il nous appartient à chacun, à tous, d’améliorer le monde en en faisant ce que l’on souhaite vraiment.

Alors balayons nos peurs et voyons la crise comme une formidable opportunité de s’ouvrir, de partager!

« Sois le changement que tu veux voir dans le monde », donc…

Deviens coopérateur de La Pachamama 😉

L’un de nos plus beaux rêves est en train de prendre forme: La Pachamama se transforme en coopérative à finalité sociale.

Qu’est-ce que c’est?

Une coopérative à finalité sociale vise, par la vente, à défendre un objet social. Avec la construction de cette coopérative, nous visons la défense et la promotion du commerce équitable: une consommation différente, responsable.

Si, comme nous,

− vous préférez être acteur de vos achats plutôt que consommateur,

− vous souhaitez témoigner plus de respect à la dignité humaine et aux ressources de notre planète,

− vous souhaitez soutenir activement et facilement une initiative de changement,

Vous pouvez devenir coopérateur-adhérent

Comment?

− Vous achetez min. une part sociale d’une valeur de 100€, qui vous donne le statut de coopérateur-adhérent, avec la possibilité d’être nommé au Conseil d’administration si vous souhaitez vous y impliquer.
− Vous obtenez immédiatement un retour sur investissement idéologique, en soutenant activement un projet participatif de consommation alternative auquel vous croyez.
− Vous obtenez, en tant que coopérateur-adhérent, un bénéfice indirect sous forme de ristourne permanente de 5% sur tous vos achats à La Pachamama.
− Vous obtenez également un bénéfice direct dans les limites fixées par la loi et les statuts (max. 6% des bénéfices).

Si vous souhaitez en savoir plus, téléchargez ce document. Vous pouvez ensuite nous le renvoyer signé avec votre règlement, et vous recevrez par retour de courrier votre carte de coopérateur, un reçu, et le code qui vous donnera accès à la ristourne de 5% réservée aux coopérateurs.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter au +32.4.76.51.26.33 ou contact@lapachamama.eu

« Que vous posiez votre pierre à la tâche,

votre jolie lumière, votre grâce »

(JJG)

Quand l’allaitement devient moins discret…

J’allaite en ce moment une petite demoiselle de deux ans, et c’est la première fois que j’allaite un enfant qui parle.

C’est très beau de partager ces moments avec ma petite qui donne son avis sur les tétées (« il est bon le lait », « a plus lait », « encore tétée », « bébé téter » quand elle me met ses poupées au sein…).

Mais parfois, il faut bien avouer qu’une bambine de deux ans est moins discrète qu’un tout-petit qui va manifester son envie de téter tout simplement en suçotant ses doigts… Par exemple, il y a quelques jours, dans le train qui nous ramenait de Verviers, la jeune demoiselle avait envie d’arroser son goûter de quelques gorgées de bon lait. Et comme à son habitude, elle a tiré mes vêtements vers le bas, en dévoilant bien plus que je n’aurais voulu le faire, et en criant « téter, téter!! » à qui voulait l’entendre.

Hum…

J’essaie de mettre au point un dialogue moins… criant, en lui demandant de signer plutôt que de tirer sur mes vêtements en réclamant à grands cris ce qu’elle souhaite. La petite demoiselle est habituée à utiliser des signes, car elle signait déjà avant de parler, et le geste « téter » (les quatre doigts rejoignent le pouce comme un pince, deux ou trois fois, d’une seule main) est aussi discret que joli.

C’est mieux, non? Je suis bien contente de pouvoir recourir à cela 🙂

Le numéro 18 de Grandir autrement contient un très bon dossier, « Signer avec ses enfants », pour initier au langage des signes pour les tout-petits.

Les signes sont aussi abordés dans l’incontournable « Elever son enfant autrement » de Catherine Dumonteil-Kremer.

Et le magnifique livre de La Leche League, « L’art de l’allaitement maternel« , est plein de ressources pour les mamans qui allaitent des bambins.

>La stévia est arrivée!

>bLa stévia (Stevia rebaudiana Bertoni) est une plante originaire du Paraguay, dans les hauts plateaux près des chutes d’Iguazu.

Ancestralement utilisée dans toute l’Amérique latine et en Asie pour édulcorer la cuisine, la stévia a un pouvoir sucrant environ 300 fois supérieur au sucre. Elle ne contient aucune calorie, pas de graisse et pas de cholestérol, et est idéale pour les diabétiques, les personnes au régime, mais aussi pour toute personne souhaitant trouver une alternative naturelle et saine aux sucres ou édulcorants chimiques toxiques.

Longtemps interdite dans l’Union européenne, car soumise à de nombreux tests pour vérifier sa non-toxicité, elle est maintenant autorisée. Ses vertus sucrantes sont désormais reconnues et on trouve la stévia en vente dans de plus en plus de commerces d’alimentation bio ou équitable. Nous sommes ravis de pouvoir vous offrir la stévia de Stevia Natura, une fabrication française à base de stévia du Paraguay:

http://www.lapachamama.be/ps/120-sucre-et-stevia

>Cosmétique maison: le savon de plantes ayurvédiques

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Nouveau à La Pachamama, ce savon de Karawan, notre partenaire engagé en commerce équitable, se compose d’ne synergie de sept plantes fondamentales de la cosmétique ayurvédique, selon la pure tradition indienne.
Ces plantes sont reconnues pour la douceur de leur action lavante et leurs vertus fortifiantes, autant pour le corps que pour les cheveux.
L’ayurvéda est un système de médecine naturelle bien établi, originaire de l’Inde, qui se base sur le monde vivant constitué du physique (corps), du mental (esprit) et du spirituel (âme).
L’ayurvéda permet de maintenir ou de rétablir une relation équilibrée et harmonieuse entre ces dimensions. Son histoire clinique compte plusieurs milliers d’années et elle reconnue et encouragée par l’OMS.
Ce savon ayurvédique, en poudre, se mélange avec de l’eau pour obtenir une pâte légèrement liquide. L’usage d’une éponge naturelle est idéal pour l’application sur le corps et les cheveux. Conserver la mousse 3 à 5 minuntes au contact de la peau et du cuir chevelu permet l’absorption optimale des principes actifs des plantes.
Il est proposé par La Pachamama à 8,90€ pour un pot de 80 gr de poudre, soit 400ml de savon:

>Prix tout compris

>En attendant la mise en ligne imminente du site, je vous invite à aller jeter un oeil sur la nouvelle campagne d’Oxfam, Prix tout compris. Une mine de réflexions, de pistes et de bonnes idées pour consommer mieux, plus intelligent, plus respectueux et plus éthique, avec en plus une bonne dose d’humour, ce qui ne gâche rien!

>Satya

>La rencontre avec Martine Ernoux a été l’une des heureuses étapes de la préparation de ce projet.

Martine Ernoux a gagné, en 2006, le premier « Be Fair Award », une récompense belge à la meilleure initiative équitable de l’année.
Il faut dire qu’elle a créé Satya « pure elements », une ligne de vêtements en coton bio-équitable, 100 % propre tant au niveau humain qu’environnemental. Et qu’en plus, ces vêtements sont ravissants.
  • Le coton bio vient d’Agrocel, une organisation équitable indienne depuis longtemps partenaire d’Oxfam et de Max Havelaar entre autres.
  • La teinture des vêtements est faite uniquement à base de plantes.
  • La confection se fait dans un atelier des quartiers défavorisés de Bombay, membre d’IFAT (l’organisation internationale du commerce équitable, http://www.ifat.org/).
  • Les broderies sont faites à la main par des femmes qui travaillent de chez elles et ont ainsi l’occasion d’augmenter leurs revenus et leur autonomie financière.
Elle a réussi, par exemple, à créer un jeans pollution zéro.

« Satya est plus qu’une marque, c’est l’histoire d’un vêtement qui, depuis le champ de coton jusqu’au produit fini, se fait dans le respect des conditions de travail de chacun des acteurs. Satya assure une filière transparente, équitable et respectueuse de l’environnement« .

Je vous mets l’eau à la bouche? Patience, le site sera bientôt, bientôt ouvert!

>Akha Biladjo: un projet coup de coeur

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Akha Biladjo, c’est un beau projet de commerce équitable né d’une rencontre entre une Française, Cécile Pouget, et les femmes Akha du Laos. Ce sont les broderies naïves, pleines de couleurs et d’imagination, qui rendent chaque objet créé par elles unique. Il ne correspondra jamais exactement aux photos des catalogues. Les femmes ont l’initiative de leur créativité. Elles brodent les objets au détour d’un chemin de montagne, au cours des soirées et quand le calendrier agricole leur laisse du temps pour s’y consacrer.

« [L’association] est attachée à cette petite production artisanale, qui s’insère, sans trop la perturber, au sein d’une vie paysanne et familiale. Il n’est pas question, pour nous, de bouleverser la vie du village, d’en sortir les femmes pour les faire travailler en atelier ».

Les femmes sont toujours payées le jour même où elle apportent l’objet au petit atelier de Madame Tang, et le prix tient compte tant des matières premières que du temps passé à réaliser l’objet. Madame Tang revend ensuite soit au Laos, soit à l’association active en France. L’entièreté des bénéfices retourne au projet, pour l’installer dans le long terme et continuer à assurer une juste rémunération aux femmes Akha.

« Nous souhaitons que nos acheteurs, en fin de compte, ne soient pas que des consommateurs. Qu’au moment d’ouvrir le porte-monnaie, ils aient conscience de la provenance du doudou ou de la petite robe qu’ils achètent, des conditions dans lesquelles ils ont été créés et produits. Qu’en partant ils emportent avec eux le rire joyeux d’une femme Akha… »